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Pour qui sonne le glas de l’Amérique qui n’épargne décidément pas assez?

Ben Bernanke évoque sans cesse une «surabondance de l’épargne mondiale qui produirait des taux d’intérêts très bas. C’est un leurre, voici pourquoi.

31 octobre 2005, 0h00
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En ce moment, Ben Bernanke, président du Conseil économique du président Bush, aime à parler d’une «surabondance mondiale de l’épargne» qui aurait produit des taux d’intérêt incroyablement bas dans le monde entier. Ce n’est pas voir les choses sous le bon angle. L’Amérique n’a sûrement pas de surabondance d’épargne. Son taux d’épargne a été désespérément bas pendant des décennies. Ensuite, l’insouciante politique fiscale de l’administration Bush l’a fait diminuer davantage. La chute des taux d’...
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