20 mars 2006, 0h00
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Toutefois, un mouvement de grève comme celui qu’on a vu à Swissmetal reste exceptionnel. Voilà qui adoucit quelque peu le ton de l’interview donné par Paul Rechsteiner au Sonntagszeitung. Selon lui, «même les représentants patronaux reconnaissent à mots couverts (qu’il y a eu trop d’arrogance)». On se demande pourtant si le président de l’USS ne tenterait pas d’adoucir le résultat modeste de cette grève, résultat si modeste que certains le qualifient de débâcle. Eh bien non! Selon lui, il n’y a ...
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