09 novembre 2005, 0h00
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«L’époque dorée du bilatéralisme est révolue», lance le conseiller national schaffhousois Hans-Jörg Fehr, président du PS. Les déficits de l’exercice commencent à dépasser les bénéfices, estime-t-il. De la perte rampante de souveraineté, à la lourdeur des processus en passant les problèmes que suscitera la mise à jour des accords, les déficits deviennent de plus en plus évidents. Certes, des discussions ponctuelles restent possibles. Par exemple dans le domaine du marché de l’électricité où des ...
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