27 mai 2008, 0h00
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«La situation est tendue, et ce sont finalement les personnes qui entretiennent des relations régulières avec la Chine qui en pâtissent.» Dans les bureaux lausannois de Sinoptic, un portail de services spécialisés dans les échanges avec l’Empire du Milieu, Gérald Béroud se montre amer face à l’ampleur de «la crise olympique». Le fondateur de la société déplore surtout la façon dont les médias ont traité ce sujet. Ce licencié en sociologie de l’Université de Lausanne est aux premières loges pour ...
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