15 août 2003, 0h00
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Il y a quelques jours, le Swatch Group annonçait des ventes en recul. Elles sont dues, bien sûr, à la crise économique mais aussi à la haute valeur du franc suisse. Et le patron du groupe, Nick Hayek, de prédire que si la situation n’évoluait pas il faudrait envisager d’éventuelles délocalisations afin de réduire les frais de production.
Cette déclaration illustre bien le problème d’une horlogerie à deux vitesses. D’un côté, on trouve les grands noms de l’horlogerie de luxe ou de prestige, qui ...
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