22 août 2003, 0h00
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Il faudra s’y faire: s’il y a de plus en plus de PME actives à Lausanne et dans le canton de Vaud, ce n’est pas parce que la conjoncture y est plus riante qu’ailleurs; c’est parce que, profitant d’une loi cantonale devenue parfaitement laxiste, des tas de petits malins tentent de se recycler dans l’industrie supposée lucrative de la boîte de nuit, du pince-fesses, du bar à champagne, du sauna gay ou du claque. D’ailleurs, comme il y a de plus en plus de gens sans emploi qui ne sont pas obligés d...
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