08 juin 2000, 0h00
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Bénédict Hentsch n’aime pas l’inertie. En fait, il l’a en horreur. Cette passion pour l’action s’accompagne, chez lui, d’un refus systématique de tout ce qui pourrait ressembler, de près ou de loin, à une rente de situation. Son service militaire en Suisse, il l’a fait dans un corps où l’on se porte volontaire: les grenadiers. L’essentiel de sa carrière, il l’a fait très loin de son pays, au Brésil. Aujourd’hui, banquier privé à Genève et donc placé dans une situation où il pourrait enfin profit...
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