06 avril 2014, 22h21
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Les accusations contre les banques de détail d’avoir manipulé le cours de leurs titres se multiplient. Elles sont d’autant plus difficiles à réfuter que les dirigeants détiennent souvent des actions eux aussi. Ils bénéficient donc directement des hausses de cours. Et l’évolution des titres jusqu’en 2013, couplée à un nombre d’actionnaires inscrits en forte hausse, nourrit encore les soupçons. Ce sont notamment les comptes d’épargne réservés aux actionnaires qui sont en cause. La Banque Cantonale...
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