04 mai 2007, 0h00
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La Suisse avec son complexe habituel de premier de classe semble, désormais, vouloir exiger plus de transparence pour ses marchés financiers. Souhait oh combien convenable et oh combien attendu. La transparence est nécessaire et même un des éléments clés des marchés. Sans transparence et sans confiance, il n’y a pas de bourses possibles. Mais l’angélisme actuel qui prévaut chez la plupart de nos politiques et qui a été relayé par le patron d’EconomieSuisse, Gerold Bühler, ne cache-t-il pas un pe...
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