25 janvier 2005, 0h00
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En dépit de la difficulté à trouver des investisseurs et des soutiens, le goût de créer un jour son entreprise reste fort. Le fait paraît assez réjouissant. Environ 58% des diplômés d’une haute école technique (EPF et HES) s’imaginent être un jour à la tête de leur entreprise ou, à tout le moins, de pouvoir être indépendants. Ce résultat, issu d’une étude du programme national de recherche du Fonds national formation et emploi (1), constitue manifestement une très bonne surprise aux yeux des aut...
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