18 décembre 2003, 0h00
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Accéder au plus haut niveau directionnel d’une entreprise est souvent synonyme de siège rapidement éjectable, en particulier pour les CEO (chief executive officers). On ne compte plus les PDG et autres membres de la direction générale qui, ces dernières années, ont été forcés de démissionner de leur poste ou l’ont fait de leur plein gré. En Suisse, les démissions fracassantes de Reto Hartmann (Valora), Luqman Arnold (UBS) et Lukas Mühlemann (CS Group) sont restées gravées dans les mémoires. Et p...
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