07 novembre 2006, 0h00
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L’art fait partie de ces flambeaux qui portent haut les envolées pataphysiques des marchés en surchauffe. Dernier fait d’armes en date: un Jackson Pollock à 140 millions de dollars, «N5, 1948», près de 3 mètres carrés de projections de peinture bigarrées. L’œuvre est importante, mais pas majeure dans le parcours de cet artiste mythique du milieu du XXe siècle, aussi connu pour son goût de la rupture que de l’alcool. Une très belle opération pour le vendeur, collectionneur et magnat de la culture...
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