10 octobre 2007, 0h00
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Tapons le clou quand il est chaud. Rien ne lasse moins que les Fédérales. Tant et plus que l’on se demande encore qui ne pas brocarder. Car on a beau se préparer à l’imprévu, la terre est toujours trop basse quand le sol manque sous ses fesses. A Monaco, il suffit de coller un nez rouge à sa Majesté sur Internet et l’on se fait ramasser par la maréchaussée, amender, etc. A Genève, dans le quartier des Pâquis à la génétique si généreuse, on fait pire encore et il ne se passe rien. A la nuit tomba...
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