17 octobre 2000, 0h00
Partager
Quels cris d’horreur n’a-t-on pas entendu ce printemps sur l’avenir du deuxième pilier… Les entreprises allaient piller les caisses de pension. Elles allaient fondre comme des vautours sur des fonds libres estimés à plus de cent milliards. Et cela avec la complicité active des grandes fiduciaires mondiales, et singulièrement américaines, qui tentaient d’imposer leurs normes comptables à la petite Suisse. Parce que la présentation des comptes destinés à la cotation en bourse prévoit une possible ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT