22 décembre 2004, 0h00
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L’annonce lundi de la démission de Philippe Roch, directeur de l’OFEFP, est ressentie comme une lourde perte par la gauche et les Verts. La droite se réjouit de voir «un bureaucrate et un obstacle à la recherche» débarrasser le plancher.
L’heure est aux regrets du côté du parti socialiste. «Cette perte a pour la Confédération la dimension de ce que Philippe Roch a apporté à la politique environnementale. Elle est immense,» a déclaré le porte-parole du PS Jean-Philippe Jeannerat mardi à l’ats.
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