29 novembre 2004, 0h00
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Philippe Camus n’aime pas les deuxièmes places. L’anti-Poulidor de l’économie française n’aspire qu’au premier rang. Coprésident exécutif du leader européen de l’aéronautique, de la défense et de l’espace EADS, il veut faire de la société le numéro un mondial, via une éventuelle fusion-acquisition avec le groupe d’armement français Thales, pour définitivement damer le pion à Boeing. Mais une lutte intestine, qui pourrait mettre en danger Philippe Camus, ronge la société trinationale.
Ce dernier...
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