07 mars 2000, 0h00
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Philip Morris continue de faire valoir des attributs supérieurs à la moyenne en termes de rentabilité. Seulement voilà: le tabac n’est plus en odeur de sainteté tandis que l’industrie agro-alimentaire paraît très défensive dans un environnement de spéculation boursière sur les nouvelles technologies. Philip Morris affiche aujourd’hui une valeur boursière inférieure à 50 milliards de dollars, ce qui représente moins d’une fois ses ventes, alors que sa rentabilité reste au-dessus de la moyenne, ta...
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