07 novembre 2005, 0h00
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Les investisseurs négligent les entreprises pharmaceutiques «émergentes» et ne s’intéressent qu’aux groupes américains et d’Europe occidentale. Certes, ces marchés pèsent 90% des ventes mondiales, mais la croissance faiblit, relève Katja Kirch, responsable du marketing de la société d’investissements bâloise Adamant.
La progression des bénéfices des pharmas est estimée entre 6% et 8% par an, tandis que le rythme s’inscrit vers 15% à 20% pour les sociétés dites «émergentes». Ce terme désigne l...
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