30 janvier 2004, 0h00
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Le fait que Lazard soit absent du conflit Sanofi/Aventis est déconcertant. Après tout, la banque s’était retrouvée seconde dans le classement, établi par Dealogic sur les fusions et acquisitions en France, en 2003. Lazard a déjà, par le passé, représenté chacune des deux entreprises pharmaceutiques avec lesquelles elle entretenait des relations. Par ailleurs, l’expérience de Lazard, en France, au niveau des OPA hostiles – elle a conseillé Alcan dans sa reprise victorieuse de Pechiney – aurait dû...
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