15 juillet 2005, 0h00
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«J’en appelle à vous, au nom de ces enfants qui, comme moi, auraient préféré, si cela avait été possible, ne pas naître plutôt que de naître lourdement handicapés pour que le diagnostic préimplantatoire puisse être accepté.» C’est la clé du discours de conseiller national Luc Recordon (verts/VD). Avec ces quelques mots, il a définitivement assuré une majorité à une initiative parlementaire fortement combattue. Certes, dans ce cas précis, c’est plutôt le poids d’un témoignage du politicien inval...
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