11 juillet 2003, 0h00
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La démission forcée de Reto Hartmann, l’ex-CEO de Valora qui a délibérément agi dans le dos du conseil d’administration, peut être interprétée de plusieurs façons. Elle exprime à la fois l’enthousiasme des investisseurs, le sentiment d’une libération d’un poids devenu gênant mais aussi leur doute sur l’avenir du groupe. L’enthousiasme, car le 11 juin dernier, le titre s’est littéralement envolé en bourse, battant un record qu’il n’avait plus battu depuis 12 ans. Une libération, parce que le cour...
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