05 novembre 2009, 0h00
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xavier lépine*
Depuis quelques mois, les statistiques macroéconomiques et microéconomiques convergent vers une conclusion sans équivoque: le pire de la crise est derrière nous. Le choc a été d’une violence inédite par son ampleur et sa globalisation. Tous les indicateurs ont connu des baisses sans précédent: mises en chantier, consommation, production automobile, taux d’utilisation des capacités de production, montée du chômage, etc.
A crise sans précédent, moyens sans précédent mis en œuvre p...
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