08 février 2010, 0h00
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Lorsque tôt ou tard, les marchés obligataires estimeront que le fragile équilibre sur lequel repose actuellement l’emprunt des gouvernements en regard de leur déficit (sans précédent en temps de paix), le verdict risque d’être sans appel. En fait, dans un sens, ils s’expriment déjà mais sotto voce, en laissant par exemple des emprunteurs du secteur privé se financer à des écarts inférieurs à ceux de certains gouvernements. Il est facile d’ignorer de tels signes lorsque des obligations de crédit ...
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