22 novembre 2004, 0h00
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La partie n’est pas gagnée d’avance pour Hans-Rudolf Merz s’agissant de la votation du 28 novembre sur la nouvelle péréquation financière: «Je sens que rien n’est encore décidé», a déclaré le ministre des finances dans une interview à la SonntagsZeitung. Une certaine insécurité règne, mais c’est souvent le cas des votations qui n’ont pas de conséquences directes sur le quotidien. «On mène toujours la vie dure aux objets de politique d’Etat», a déclaré M. Merz.
A ses yeux, la raison de cette i...
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