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Pénible fin de règne pour Antonio Fazio

Le gouverneur de la Banque d’Italie est accusé d’avoir manqué d’impartialité en favorisant des investisseurs italiens dans la reprise des banques Antonveneta et BNL.

07 septembre 2005, 0h00
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Désavoué par tous les dirigeants de son pays après s’être compromis dans une bataille bancaire, Antonio Fazio, le puissant gouverneur de la Banque d’Italie, sent ses jours comptés à la tête de l’institution et les noms des candidats à sa succession sont mardi dans tous les journaux. Silvio Berlusconi l’a lâché lundi soir, après avoir reçu carte blanche de son allié de la Ligue du nord Umberto Bossi, dernier défenseur du gouverneur. Antonio Fazio s’est pour l’instant refusé à tout commentaire, m...
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