13 juin 2008, 0h00
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C’est la fable de la grenouille et du bœuf. Il était une fois une banque suisse solide et sérieuse qui se mit en tête de jouer avec les plus grands sur la scène internationale. En 1999, les stratèges d’UBS se penchent sur la carte des Etats-Unis et décident de tenter l’impossible: damer le pion aux banques américaines sur leur propre échiquier. Le moment est propice: gourou de la Réserve fédérale, Alan Greenspan a réussi à convaincre Washington d’abolir le «Banking Act», en vigueur depuis la cri...
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