30 septembre 2005, 0h00
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Dans un livre publié en 1999, «L’Autorité» (PUF), la philosophe française Françoise Delsol écrivait: «Chacun sait qu’un référendum sur la peine de mort n’aurait pas permis sa suppression.» Si l’on suit cette philosophe, on dira que cette suppression n’est pas le résultat d’une procédure démocratique mais relève de ce qu’on appelait autrefois la morale naturelle, c’est-à-dire une sorte de respect inné pour des principes moraux universels sur lesquels les sentiments du peuple ne devraient pas avoi...
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