20 octobre 2010, 0h00
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La Banque du Canada, qui était devenue la première d'un pays du G7 à relever ses taux en juin, a précisé que «toute nouvelle réduction du degré de détente monétaire devrait être évaluée avec soin»;, un langage qu'elle avait déjà utilisé en septembre en annonçant une hausse du taux. Elle a justifié sa décision par «l'affaiblissement des perspectives aux Etats-Unis, les contraintes qui commencent à modérer la croissance des économies de marché émergentes et les considérations internes qui devraien...
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