19 mai 2005, 0h00
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Alors que fleurissent les assemblées générales des grandes compagnies, leurs patrons n’ont guère de raisons de se réjouir de ces raouts qui tournent de plus en plus souvent à la foire d’empoigne. Au centre des débats, les performances financières et les principes de gouvernance d’entreprise qui donnent du blé à moudre aux actionnaires récalcitrants. Hier, c’était le tour de Josef Ackermann, président du directoire de la Deutsche Bank, de s’attirer les foudres d’une partie de la foule venue deman...
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