02 décembre 2008, 0h00
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Pas facile d’être premier ministre dans la France de Nicolas Sarkozy. A plus forte raison quand on s’appelle François Fillon et qu’on est un partisan de longue date de la présidentialisation du régime. Mais ce dernier ne semble pas pour autant résolu à se muer en ectoplasme pour laisser le champ libre à son patron. Bien qu’il prêchât à maintes reprises, avant sa nomination, la suppression du poste de chef de gouvernement, le Sarthois s’était montré particulièrement courroucé lorsque le président...
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