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Patrick Aebischer: «L’avantage, c’est qu’il ne peut rien m’arriver de pire»

Mal accueilli lors de son arrivée à la tête de l’EPFL, le patron de la Haute école lausannoise a été la cible de nombreuses attaques. Il s’en explique.

01 avril 2005, 0h00
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Votre nomination à la tête de l’EPFL en 2000 a déclenché un déluge de critiques. Que craignaient vos adversaires? L’entrepreneur que vous êtes, une perte de leur liberté de chercheur, une mise sous tutelle de leurs travaux par la grande économie? Patrick Aebischer: Lors de mon arrivée, il y a eu contre moi une pression médiatique terrible. L’avantage, c’est qu’il ne peut rien m’arriver de pire. Le problème? Je voulais transformer cette très bonne école d’ingénieurs en un institut de haute tec...
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