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Pascal Couchepin plaide la cause helvétique en terrain miné

Les autorités suisses nient toute responsabilité dans le crash de Sabena et rappellent leurs positions de négociation.

07 novembre 2001, 0h00
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La faillite de la Sabena? «Le Gouvernement suisse n’est pas Swissair. On est triste, mais on n’a pas de responsabilité patrimoniale» dans l’affaire. Les bilatérales? «Sur un continent marqué par un esprit cartésien, il faut procéder par ordre: on n’entamera pas de nouvelles négociations de façon approfondie avant que le premier paquet d’accords entre en vigueur.» Les menaces qui pèsent, en Belgique, sur la ratification des accords de 1999? «Ces accords sont dans l’intérêt des deux parties. Celle...
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