25 novembre 2005, 0h00
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«Il y a encore quelques haies à franchir.» De nombreuses même. L’image de l’analyste du Credit Suisse, Uwe Neumann, résume la réaction relativement placide du marché aux propos de Hans-Rudolf Merz. L’annonce de la volonté du Conseil fédéral de désengager la Confédération de Swisscom était attendue. Peut-être pas si rapidement, mais attendue tout de même. Qu’elle semble pourtant loin, aux yeux des analystes, la ligne d’arrivée d’une course politique qui ressemble davantage à un steeple qu’à un ce...
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