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Pas de vrai salut du côté des BRIC

Le regard de certains actionnaires se tourne plus volontiers vers ceux qui présentent l’avantage d’avoir de confortables réserves en devises étrangères et un endettement limité.

16 février 2010, 0h00
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Il y a dix ans, Brésil, Russie, Inde, Chine étaient encore presque des exclus de l’échiquier financier. Pour l’ensemble des marchés cette décennie aura été la pire sur le plan des actions depuis les années trente sauf pour eux. Malgré des baisses spectaculaires, et avant toute reprise, leurs actionnaires enregistraient de meilleures performances. Aujourd’hui on cherche avec impatience à «se refaire» une santé et le regard se tourne plus volontiers vers ceux qui présentent l’avantage d’avoir de c...
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