21 janvier 2002, 0h00
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En déposant des fleurs devant le monument de la résistance non communiste (AK) à Varsovie, le président Vladimir Poutine a fait un geste important, mais le mot «pardon» n’a toujours pas été prononcé, déplore un ancien déporté en Sibérie à la fin de la guerre.
En hiver 1945, quelques mois après la libération par l’armée soviétique de Lviv (une ville polonaise d’avant-guerre, rattachée à l’URSS après 1945), le NKVD arrête Andrzej Kwiatkowski, 17 ans, engagé depuis peu dans la résistance non commun...
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