Pas de panique... mais tout de même un certain malaise

La déception du dernier rapport de l’emploi américain à peine digérée, le terrorisme fait un triste retour sur les devants de la scène et ravive l’attrait des obligations. Si les investisseurs n’ont pas cédé à la panique, l’ombre d’Al Qaida apporte un soutien aux obligations gouvernementales. Occulté par les développements conjoncturels, le risque géopolitique s’est douloureusement manifesté avec les attentats de Madrid. Relayant docilement l’accusation formulée par le gouvernement Aznar, le ...