20 janvier 2011, 0h00
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Certaines branches et entreprises souffrent vraiment de la cherté du franc suisse, reconnaît le Conseil fédéral. Il étudie donc des mesures de soutien, a annoncé mercredi le ministre de l'économie Johann Schneider-Ammann. Pas question toutefois de parler de crise.La situation est sérieuse, mais «ce n'est pas une crise»;, a répété trois fois le conseiller fédéral libéral-radical devant la presse. La croissance économique s'est élevée l'an dernier à 2,7% et le chômage a reculé à 3,6% à la fin de l...
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