19 septembre 2008, 0h00
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Dans le contexte d’incertitude actuel, la grande majorité des analystes couvrant les entreprises cotées en Suisse campent sur leur position défensive, soit généralement des titres dans les biens de consommation courants (Nestlé) et les pharmas (Novartis, Roche). Et ils n’ont bien évidemment pas tort à court terme, car comme l’explique Patrick Hasenböhler pour résumer la situation actuelle, «un certain nombre de sociétés helvétiques n’ont pas encore été touchées par la crise, mais il ne fait aucu...
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