24 novembre 2004, 0h00
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Les procès intentés par Emilio Bondi à certains créanciers de Parmalat, notamment Deutsche Bank et UBS, ont mis en évidence certaines particularités provenant de lois obsolètes sur les faillites. Ces lois, à l’avenir, pourraient rendre les banques méfiantes envers toute compagnie en difficulté.
La loi italienne sur les faillites date de 1942. Elle permet à une compagnie qui a sombré de récupérer tout actif qu’elle a acheté dans les deux années qui ont précédé son naufrage.
On peut contester un...
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