19 mars 2009, 0h00
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Les parlementaires suisses sont anxieux. Ils l’ont montré par tous leurs pores, durant ces deux débats urgents sur la défense de la place financière. Les attaques contre la Suisse se succèdent et nourrissent leur inquiétude. De plus, ils ont l’impression que le pays vit sur la défensive et dans le noir. Mardi, les sénateurs ont plusieurs fois cité Shakespeare, «La tempête» bien entendu. Ils ont demandé à Hans-Rudolf Merz le nerf de sa stratégie et sa parade aux prochaines attaques. Mercredi, les...
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