20 juillet 2007, 0h00
Partager
Soufflant le chaud et le froid, la France n’en maintient pas moins la pression sur la Banque centrale européenne, ce qui risque de compliquer les décisions des gardiens de l’euro alors qu’une nouvelle hausse de taux d’intérêt est programmée pour septembre ou octobre.
Le président de la BCE sort de ses gonds
Le président français de la Banque, Jean-Claude Trichet a qualifié de «pas acceptable», la déclaration du secrétaire d’état français aux Affaires européennes Jean-Pierre Jouyet selo...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT