13 février 2009, 0h00
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Faites ce que je dis, pas ce que je fais. Alors que le programme de soutien que Paris vient d’adopter en faveur de son industrie automobile, qui prévoit notamment l’octroi de prêts (six milliards d’euros) à taux préférentiels à Renault et au groupe Peugeot Citroën à condition qu’ils ne délocalisent pas leur production, fait beaucoup jaser, le premier français, François Fillon, a exhorté hier les Vingt-Sept à mieux coordonner leurs plans de relance de l’économie afin d’éviter toute dérive protect...
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