14 octobre 2003, 0h00
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Après avoir cherché pendant des mois un accord amiable avec la justice américaine dans l’affaire Executive Life, l’Etat français doute: pressé par un ultimatum des Etats-Unis d’apposer sa signature, il veut être sûr qu’en payant le prix fort il écarte toute menace de pousuites pénales.
La problématique est simple: l’accord amiable, que Paris doit signer «d’ici la fin de la semaine», suppose que les parties françaises reconnaissent des erreurs techniques mais pas leur culpabilité, ce qui les pla...
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