24 octobre 2003, 0h00
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Dans les ascenseurs qui desservent l’immeuble joliment restauré où loge «l’agefi», à Lausanne, on vient de nous installer des diffuseurs d’arômes. C’est drôlement bien, ça. Parce que je ne sais pas si vous avez le souvenir de ces ascenseurs qui sentent le tabac froid, la sueur, le pet, l’urine ou les pieds: on préfère prendre l’escalier. Tandis qu’à «l’agefi», je ne saurais trop vous dire: cela fleure le bon; c’est quelque chose d’indéfinissable qui flatte la narine et me met en joie.
Ne recula...
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