11 juillet 2008, 0h00
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La langue le souligne de métaphores. On l’aime chaud comme la braise ou bêta comme le merlan frit. On le roule, on le fait doux, on s’en bat quelque fois. L’œil est ontologique de l’homme, petit animal scopique. Mais le miroir est fragile. Il se brise parfois. Et derrière, c’est le vide, un nid d’angoisse où l’énucléation est recluse en tabou. Un jour de 1965, Georges-Michel Dubois s’est attaqué à l’intouchable et développe depuis une lentille sans égal. Du grand art, qui se fait invisible en mo...
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