21 juin 2007, 0h00
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Le paradoxe fondamental du libéralisme est qu’il se fonde sur la poursuite, par chacun, de son intérêt individuel, mais qu’en même temps il demande aussi qu’on s’élève au-dessus de cet intérêt pour comprendre des logiques qui lui sont contraires. Surtout à l’âge de la globalisation! Dans des domaines comme l’assouplissement du marché du travail ou les délocalisations, on demande en effet aux travailleurs de se détacher de leur vision à court terme et d’inscrire leurs frustrations dans le long te...
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