06 avril 2005, 0h00
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Jean Paul II est à peine en route vers le Père qu’un vent de révolution souffle déjà sur le Vatican. Certes, ce ne sont pas les Gardes rouges qui sévissent – ceux de la Garde suisse suffisent à assurer la quiétude du plus petit Etat du monde – mais la nouvelle publiée hier est de nature à couper le souffle: il paraît que cette fois-ci, à l’issue du conclave des cardinaux, la fumée blanche annonçant le choix d’un nouveau pape sera accompagnée du carillon de Saint-Pierre. Cela ne s’était jamais vu...
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