21 février 2000, 0h00
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Les venture capitalists sont rarement expansifs. Panos Lioulias, lui, est carrément secret. Dans le bureau qu’il partage dans un immeuble de Commugny avec deux autres hommes d’affaires, ce nouveau venu dans le financement des sociétés de croissance en Suisse romande intrigue. D’origine gréco-américaine, il ne parle pas un traître mot de français. Ses liens avec la Suisse semblent des plus ténus. Ingénieur en télécommunications formé à New York, il est venu à Lausanne pour suivre les cours de l’I...
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