23 février 2005, 0h00
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Le sidérurgiste japonais Nippon Steel mettra la main au porte-monnaie. Pour continuer à être approvisionné par le producteur de minerai de fer brésilien Companhia Vale do Rio Doce (CVRD), il a dû consentir une hausse de prix de 71,5%. CRVD admet que c’est le coup de massue, mais se justifie en invoquant «une situation économique caractérisée par des déséquilibres sans précédent sur les marchés des métaux et du fret maritime».
Stimulée par le gargantuesque appétit chinois, la consommation mondia...
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