21 janvier 2000, 0h00
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Pour Damas, un retrait israélien du Golan jusqu’à la ligne du 4 juin 1967, veille de la guerre des Six Jours qui conduisit à la conquête du plateau par Israël, a toujours été la condition sine qua non à tout accord de paix.
Le troisième round de négociations de paix a ainsi été reporté sine die lundi après que la Syrie eut exigé au préalable un engagement d’Israël à se retirer totalement du Golan qu’il a annexé en 1981. L’Etat hébreu a rejeté cette exigence (voir page 5).
Que les deux pays, en é...
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